Je m’amuse à vieillir. Le cerveau, maître du temps

Introduction :
C’est Paul Léautaud qui disait : « Je m’amuse à vieillir, c’est une occupation de tous les instants. » Pourtant, a-t-on déjà entendu quelqu’un dire : « Je suis content de vieillir ! » ? Vieillir un peu : oui, pourquoi pas ? Vieillir pour souffrir, perdre la raison ou la mobilité, jamais ! Dans le temps, les hommes se vieillissaient pour se faire valoir. Aujourd’hui, le vieillissement est plutôt considéré comme une déchéance par la personne âgée et comme un repoussoir par la société. Comment faire pour que la vieillesse soit perçue comme le prolongement naturel de l’existence et, pourquoi pas, comme une nouvelle existence ?
Les gens ne savent pas ce qu’est le vieillissement. Ou plus exactement ils croient savoir. Chacun a son idée qu’il essaye d’appliquer à lui-même. Et, bien souvent, on se trompe. Personne n’a encore vécu le vieillissement des hommes et des femmes d’aujourd’hui ; et puis comment savoir quel sera son propre vécu de la vieillesse puisqu’on ne l’a jamais essayé ? Comme on vit beaucoup plus âgé aujourd’hui qu’hier, comment saurait-on ce que sera le « vieillir » de demain ? Il y a aussi peutêtre une certaine veulerie qui fait qu’on n’a pas envie d’anticiper sa propre vieillesse…
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